« […] Comme toujours chez Garcia, on oscille entre violence et fantaisie, insultes et envolées poétiques. […] Frédéric Ghesquière sort vainqueur d'une performance hallucinante. Le formidable décor sonore de Vincent Cahay donne une couleur endiablée ou décalée au seul en scène, le comédien crache tout son être dans cette dénonciation. […] »

Catherine Makereel in « Le Soir » (15/12/09)

 

« […] Loin de charger encore les côtés absurdes et grotesques d’un texte à la fois militant et lyrique, c’est l’acteur lui-même qui remplit la scène de sa formidable présence, titille l’imagination mieux qu’une montagne visible d’achats inutiles et nous fait partager ainsi ses doutes, ses vexations, ses révoltes, et l’extrémisme de ses réactions. Il est soutenu par le contrepoint complice d’un décor musical live dû à Vincent Cahay. Tous deux ne laissent aucun répit au spectateur. […] »

Suzanne Vaninain « Rue du Théâtre » (17/12/09)

 

« […] Les constats, finalement, se révèlent aussi cruels que nuancés, dans un spectacle entamé de manière univoque, et qui emprunte les chemins inattendus de la poésie pour explorer notre époque perverse et paranoïaque. […] »

Marie Baudet in « La Libre Belgique » (18/12/2009)

 

« […] Le sous-titre de cette pièce de Rodrigo Garcia « A mon retour du supermarché, j’ai flanqué une raclée à mon fils » dit tout de cette tragédie moderne, réquisitoire provocateur et volontiers absurde contre notre société lobotomisée par la consommation de masse. Frédéric Ghesquière y est hallucinant, épaulé d’un superbe décor sonore. […] »

C. Ma. in « le Mad » (16/12/09)